Depuis la préhistoire, le sel a été un moyen de conserver les aliments et en particulier les viandes et les poissons. Son importance est démontrée par le fait que les voies de communication, dans l’antiquité, correspondaient avec la « route du sel ».
L’Empire romain parvint à ériger un monopole sur son approvisionnement en sel, et ce fut l’une des clefs de son expansion.
Le sel devint aussi une monnaie d’échange.
Aujourd’hui, le sel est « raffiné » afin d’arriver le plus blanc possible sur nos tables. Pourtant, les bienfaits du sel non raffiné sont supérieures, puisqu’on y trouve, à l’état naturel, tout un tas de minéraux.
L’Empire romain parvint à ériger un monopole sur son approvisionnement en sel, et ce fut l’une des clefs de son expansion.
Le sel devint aussi une monnaie d’échange.
Aujourd’hui, le sel est « raffiné » afin d’arriver le plus blanc possible sur nos tables. Pourtant, les bienfaits du sel non raffiné sont supérieures, puisqu’on y trouve, à l’état naturel, tout un tas de minéraux.
Le gros sel.
Il s’utilise dans certaines préparations culinaires comme le bœuf au gros sel ou pour la cuisson d’une viande ou d’un poisson ou croûte de sel. Non raffiné, il a une couleur grise et est plus riche.
Le sel fin ou sel de table.
Il s’utilise pour assaisonner toutes les préparations culinaires. Il est toujours raffiné.
La fleur de sel.
C’est la mince couche de cristaux blancs qui se forme à la surface des marais salins. En cuisine, on l’ajoute en fin de cuisson car elle se dissout très rapidement et pénètre très bien les aliments qu’elle assaisonne.
A table, ce sel est plus « fin » que le sel de table et donne un meilleur goût aux aliments.
Les photographies ont été réalisées par Jean-François COLLIGNON aux salines de Saint-Hilaire de Riez et à Noirmoutier.